2 jours à ne pas manquer !
Une occasion unique pour :
Bénéficier de formations
sur des sujets variés et de participer à des ateliers pratiques avec d’autres professionnels de santé.
Rencontrer des experts reconnus
et échanger de façon conviviale aves des professionnels de santé et des partenaires via le village des partenaires au cœur de l’évènement.
Participer à une soirée privée
dans un cadre exceptionnel, l’Opéra national de Lorraine le 19 octobre !
Bénéficier de formations
sur des sujets variés et participer à des ateliers pratiques avec d’autres professionnels de santé.
Rencontrer des experts reconnus
et échanger de façon conviviale avec des professionnels de santé et des partenaires via le village des partenaires au cœur de l’évènement.
Ces journées formations sont conçues POUR VOUS
l’organisation pourra évoluer en fonction de vos retours !
Dites-nous dès maintenant ce qui vous intéresse …
Découvrez les ateliers
Les ateliers de formation
Des ateliers inter-professionnels courts et axés sur la pratique sont organisés par des experts sur des thèmes variés. Vous avez la possibilité de vous inscrire à 6 ateliers maximum sur les 2 journées.
Ateliers « numérique en santé » :
Pour le Grand Est, il s’agit de l’outil PARCEO mis à disposition par le GRADES dénommé PULSY en accès libre à tous les professionnels de santé.
Le service régional e-Parcours du Grand Est Parcéo sera présenté concrètement avec le bouquet de services numériques de coordination, facilitant la prise en charge du patient et de l’usager dans son parcours de soins.
En partenariat avec Pulsy.
Objectifs :
- Susciter l’intérêt des participants à l’utilisation de l’outil régional
- Connecter la plupart des participants sur l’outil
- Explorer les possibilités par des exemples précis
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – Intervenants : 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
Les applications étudiées dans cet atelier seront adaptées à celles que les inscrits à la formation trouvent sur leur territoire. On notera, mais sans exclusivité « Entracte » et « Inzeecare ». Les principaux usages de ces applications sont la coordination au sein des CPTS et les soins non programmés dans le cadre des SAS. Le sujet est d’autant plus intéressant que ces usages se mettent doucement en place et que les besoins des professionnels de les découvrir sont importants.
Résumé de l’atelier :
il s’agit de répondre au besoin de découverte ou d’approfondissement des participants pour une application de coordination susceptible d’être déployée sur leur territoire. Il y aura donc une plénière qui présente les fonctions générales avec des illustrations pratiques puisque les fonctions assurées sont en général équivalentes et des groupes de participant avec un animateur sur les applications.
Objectifs :
- Susciter l’intérêt des participants à l’utilisation de l’application qui est ou va être déployée sur leur territoire.
- Connecter la plupart des participants sur l’application qui les intéresse
- Explorer les usages potentiels par des exemples précis
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
La téléexpertise démarre doucement, mais ne demande qu’à se développer. Les conditions de la téléexpertise sont en évolution constante en fonction des négociations conventionnelles des différents métiers. Les 10 professions concernées par cette formation peuvent interroger dans le cadre d’une téléexpertise, mais seules certaines voient leurs questions rémunérées.
Dans la liste ci-après, les professions non soulignées peuvent susciter une téléexpertise sans rémunération de la question, celles soulignées peuvent questionner avec rémunération et celles en double souligné peuvent à la fois interroger et répondre avec rémunération à la clé : médecins, infirmiers, kinésithérapeutes, chirurgiens-dentistes, pharmaciens, orthophonistes, pédicures-podologues, sage-femmes, biologistes, orthoptistes. Les kinésithérapeutes ont signé leur avenant N°7 le 13 juillet 2023. Il doit être publié au JO et s ‘appliquera 6 mois après cette publication.
La formation peut donc intéresser les 10 professions, mais concerne quand même nettement plus les médecins, sage-femmes, infirmiers, kinésithérapeutes et orthophonistes.
Résumé de l’atelier :
il s’agit de présenter la téléexpertise avec son intérêt et ses contraintes, de permettre aux professionnels de se projeter dans son utilisation et de faire quelques exercices simples pour en percevoir la simplicité une fois le pas franchi.
Durée :
55 minutes
Objectifs :
- Susciter l’intérêt des participants à l’utilisation de la téléexpertise.
- Explorer l’intérêt, les indications, les conditions réglementaires et techniques et les modalités de rémunération.
- Pratiquer un exercice de téléexpertise avec une ou plusieurs applications dédiées ou utilisables.
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 30 participants).
La téléconsultation est entrée dans la pratique. Mais de nombreux professionnels n’ont pas franchi le pas et ont besoin de données fiables et de motivation. Ceux qui en pratiquent un peu ont besoin de réassurance. C’est à ce public que s’adresse cet atelier.
Il ne s’agit pas de la téléconsultation assistée et augmentée avec des outils d’examen à distance : celle-ci nécessite une formation spécifique. L’atelier présenté utilise l’ordinateur ou le smartphone pour une téléconsultation avec un médecin ou une sage-femme appelant un patient sur son smartphone. Elle s’adresse aussi aux paramédicaux qui assistent un patient à son domicile ou dans un lieu non équipé d’outils d’examen pour consulter un médecin ou une sagefemme.
Il s’agit essentiellement d’infirmiers ou de pharmaciens, mais elle peut intéresser d’autres professionnels.
Résumé de l’atelier :
il s’agit de rappeler les conditions de la téléconsultation pour tous les intervenants et de faire un rapide exercice de mise en pratique.
Objectifs :
- Susciter l’intérêt des participants à l’utilisation de la téléconsultation.
- Explorer l’intérêt, les indications, les conditions réglementaires et techniques et les modalités de rémunération.
- Pratiquer un exercice de téléconsultation avec une ou plusieurs applications dédiées ou utilisables.
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
Mon Espace Santé, c’est une application proposée à tous les français disposant d’une carte vitale qui permet d’accéder aux données de santé présentes sur son DMP (+ de 90% des assurés disposent d’un profil Mon espace santé.
Cet atelier s’adresse à absolument tous les professionnels de santé qui peuvent aussi s’y intéresser en tant que patients.
Lancé réellement en 2022, Mon Espace Santé a l’avantage d’impliquer le patient dans le suivi de ses pathologies. Mon Espace Santé existe par défaut (sauf stipulation contraire du patient) et devient opérationnel dès que le patient l’a ouvert. Il donne alors accès au patient comme à son professionnel de santé à son volet médical de synthèse, les comptes-rendus d’examens, les consultations, les ordonnances et bien plus. Ces éléments nécessitent bien sûr d’avoir été renseigné par le patient sur son Espace Santé et apparaissent alors aussi sur le DMP ou par un professionnel de santé sur le DMP et apparaissent alors aussi sur l’Espace Santé.
Quant à l’historique des remboursements et les vaccins Covid, leur renseignement par l’Assurance Maladie est organisée en alimentation automatique. Mon Espace Santé (et le DMP) est ainsi un élément essentiel de la coordination des soins. La progression de leur usage est réelle, mais mesurée et les professionnels de santé jouent un rôle majeur dans celle-ci, soit en incitant les patients à utiliser Mon Espace Santé, soit en accueillant favorablement une demande de patient suggérant l’alimentation de son Espace Santé.
Une thèse de 2023 a en particulier (Axelle LAFORTUNE) montré que les médecins qui ont ouvert leur propre Espace Santé sont plus enclins à s’y intéresser pour les patients. L’Espace Santé présente enfin une fonction intéressante qui interpelle encore la plupart du temps les professionnels : une messagerie sécurisée permettant de communiquer avec les patients.
Résumé de l’atelier :
il s’agit de faire ouvrir leur Espace Santé à la majorité des participants et de leur faire prendre conscience si ce n’est fait de l’intérêt de l’utiliser en pratique et d’en faire la promotion
Objectifs :
- Faciliter l’ouverture et la découverte de l’Espace Santé personnel des participants
- S’approprier l’intérêt d’une information de l’Espace Santé du patient par ses soignants
- Utiliser le « messagerie santé » patient et expliquer ses modalités aux patients
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
Résumé de l’atelier :
L’atelier vise à sensibiliser les participants à la protection des données de santé et aux obligations induites par le RGPD pour les professionnels de santé.
Justification :
La Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) a récemment rappelé aux acteurs de la santé l’impérieuse nécessité d’assurer la sécurité des données de santé de leurs patients qu’ils collectent et traitent. Cette obligation s’impose aux acteurs de la santé aux termes de l’article 32 du Règlement Général sur la Protection des données (RGPD) entré en vigueur le 25 mai 2018 et transposé en droit français par la loi du 20 juin 2018 [1]
Chargée de veiller à la protection des données de santé des patients, la CNIL se montre ainsi extrêmement vigilante quant au respect de celle-ci par les médecins et les pharmaciens, mais également par leurs sous-traitants. À ce titre, l’Autorité de contrôle n’hésite pas à sanctionner tout manquement en la matière, comme en témoignent plusieurs décisions récentes publiées exceptionnellement sur Legifrance, compte tenu de l’importance de leur portée.
Avec l’informatisation croissante, les données de santé sont en effet de plus en plus exposées : Que ce soient des diagnostics, des prescriptions de médicaments, des explications de symptômes, informations intimes délivrées par le patient ou encore leurs coordonnées ou autres informations administratives : les données recueillies ou échangées lors d’un passage au cabinet médical sont toutes collectées puis hébergées dans un système informatique.
Toutes ces données sont sensibles et, avec la transformation numérique du secteur, de plus en plus exposées aux risques de cybersécurité. Des fuites ou divulgations d’information surviennent chaque semaine. Les violations de données personnelles explosent, elles ont augmenté de 75% en 2021. [5]
La sécurisation des données de santé est d’autant plus importante qu’il ne s’agit pas que d’assurer la confidentialité, mais également la santé des patients. Une intrusion, qui induirait une modification de données médicales, peut, par effet de circonstances, mettre en danger la vie d’un patient.
Cybercriminalité, acte de malveillance, risques de pannes, de sinistres, manque de sensibilisation des utilisateurs : les menaces sont nombreuses. Connaître les obligations en matière de sécurisation des données de santé, identifier les risques et assurer la sécurité de votre système informatique et de vos fichiers sont dès lors essentiels pour garantir à vos patients la sécurité et la confidentialité des données qui y figurent et disposer, en permanence, d’un outil de travail fiable.
Objectifs :
- Connaître les obligations des professionnels de soin, relatives à la protection des données de santé
- Identifier les failles possibles en matière de sécurité des données de santé
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
La e-prescription est un des grands chantiers de l’Assurance Maladie avec un objectif affiché et probablement utopique de généralisation en 2025. C’est néanmoins une marche incontournable et déjà franchie dans de nombreux autres pays.
Le but de l’atelier est de sensibiliser les participants au sujet et à son intérêt et de les amener à réfléchir à leurs pratiques actuelles si elles existent et au moins les sensibiliser aux bonnes pratiques, que ce soit en émission ou en réception, tout en exposant les principales lignes de la e-prescription du futur.
De nombreuses professions de santé sont « prescripteurs » et/ou « prescrits » et directement concernés.
L’objectif principal est au moins la prise de conscience de la nécessité de l’utilisation de la messagerie sécurisée dans l’immédiat : DMP et MonEspaceSanté, mailiz, applications de coordination.
Les pharmaciens sont particulièrement concernés par cet atelier.
Objectifs :
- Susciter l’intérêt des participants à l’e-prescription respectant les règles.
- Explorer les possibilités actuelles par des exemples précis.
- Découvrir succinctement les perspectives
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
L’utilisation du logiciel métier est globalement une spécificité propre non seulement à chaque profession, mais de plus, les logiciels sont nombreux dans une même profession. Cet atelier a pour objectif de reprendre les conditions générales de partage des données et leur application avec les logiciels métier.
Objectifs :
- Partager l’importance d’être équipé d’un logiciel Ségur et d’en suivre l’évolution pour la qualité des soins grâce à l’amélioration de la communication Santé qu’il permet et aussi pour bénéficier des forfaits structures des différentes professions.
- Permettre un échange entre les participants de l’atelier, si possibles par groupes de logiciels.
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
Le DMP est accessible à (presque) tous les patients, mais son utilisation peine à se généraliser et un atelier de 55 mn n’est pas de trop pour en rappeler les grands principes et faire faire quelques manipulations aux participants.
Créé par la loi en 2004, destiné à être généralisé en 2007, le DMP a connu beaucoup de vicissitudes et peine à devenir réellement un incontournable du soin en France. Proposé à tous les Français disposant d’une carte vitale et résolument promu pour une utilisation par les professionnels de santé et plus généralement par les établissements de soins, il progresse doucement. Il est en outre la base de l’information de « Mon Espace Santé » accessible).
Les financements et incitations du Ségur du Numérique en Santé et des Conventions avec les professions médicales et para médicales incitent certes à l’usage, mais il est freiné par des réticences, des craintes légitimes, mais aussi une insuffisante ergonomie des interfaçages logiciels. Cet atelier s’adresse aux professionnels des 10 URPS qui sont habilités au DMP selon les modalités issues de la matrice d’habilitation du DMP. Elle est très large et justifie tout à fait l’ouverture de l’atelier à tous les professionnels à URPS.
Résumé de l’atelier :
il s’agit sensibiliser les différents professionnels de santé à l’utilisation du DMP tant en consultation qu’en alimentation pour une meilleure coordination des soins.
Objectifs :
- S’approprier les modalités d’accès au DMP
- Découvrir le contenu de base et son intérêt lorsque le DMP est alimenté
- Utiliser le DMP dans sa pratique courante pour chaque profession
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
De nombreux professionnels de santé s’interrogent sur les tenants et aboutissants du Ségur du numérique en Santé. Cet atelier est destiné à réaliser une synthèse du dispositif et une mise au point adaptée à chacune des professions qui y participent. Son intérêt réside aussi dans le côté pluriprofessionnel qui permet une vision au-delà des spécificités de chaque profession, tout en prenant conscience des points communs à tous dans le dispositif.
Objectifs :
- Répondre aux interrogations des participants concernant le Ségur du numérique en santé.
- Faciliter la mise à niveau de chacun des participants.
- Éclairer les évolutions prévues
Ateliers de 55 minutes prévus le 19&20 octobre matin et après-midi
(60 places maximum – 1 expert et 1 animateur minimum pour 15 participants).
Ateliers sur autres thèmes :
L’enjeu est de comprendre l’importance de la déclaration des événements indésirables en ayant connaissance des obligations légales et d’appliquer l’analyse systémique aux évènements indésirables identifiés en soins de ville.
A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de déclarer les EIGS survenant dans sa pratique et de les analyser dans le contexte des soins de ville. Par exemple assurer un suivi et analyse des événements indésirables lors d’une téléconsultation ou téléexpertise : (ex. : problèmes techniques, interruption de téléconsultation, etc.).
Objectifs :
- Définitions et périmètre des évènements indésirables et contours en soins de ville
- Dispositif de déclaration des EIGS et l’implication des professionnels de ville
- Principes d’une analyse systémique et ses applications possibles en soins de ville
En partenariat avec la Structure Régionale d’Appui du Grand Est.
(en cours de validation dpc OF – SRA Grand Est)
Atelier de 45 minutes dans le cadre d’une formation de 4 heures organisée le 20 octobre matin.
(12 places maximum)
L’enjeu de cet atelier est d’actualiser ses connaissances sur la vaccination pour améliorer la couverture vaccinale de la population dans son bassin de vie professionnel.
Médecin (Médecine générale et Pédiatrie), Infirmier Diplômé d’Etat (IDE) , Sage-femme Pharmacien titulaire d’officine et Pharmacien adjoint d’officine.
(validé dpc – OF fmc-ActioN)
Ce DPC comporte une phase présentielle de 4 heures précédée et suivie d’une phase d’audit clinique (analyse de pratique en matière de vaccination).
Organisé le 19&20 octobre après-midi uniquement. Maximum 30 participants par session.
L’objectif de cet atelier qui s’inscrit dans une formation de sensibilisation est de permettre aux professionnels de santé de pouvoir répondre aux agressions verbales et physiques plutôt que d’y réagir, le tout pour maintenir une bonne relation soignant/soigné.
(en cours de validation dpc – Institut National de la Kinésithérapie)
Atelier de 40 minutes dans le cadre d’une formation de 4 heures organisée le 19&20 octobre matin et après-midi
(16 places maximum)
L’enjeu est d’appréhender le parcours des patients atteints d’insuffisance cardiaque à travers la Communauté Pluriprofessionnelle Territoriale de Santé.
- Lister les signes cliniques évocateurs d’une insuffisance cardiaque
- Énumérer les facteurs de risque de décompensation de l’insuffisance cardiaque
- Décrire les modalités pratiques de l’orientation du patient suspecté d’insuffisance cardiaque ou de décompensation d’insuffisance cardiaque afin d’éviter les réhospitalisations, dans le cadre d’une coordination homogène MG/cardio/infirmière
- Construire au sein de la CPTS un parcours coordonné entre les intervenants de la CPTS, pour le patient quel que soit le stade évolutif de l’IC.
Le programme comprend deux sessions en atelier : une de 20 minutes suivi d’un retour d’atelier en plénière et une autre de 25 minutes suivi également d’un retour d’atelier en plénière.
(validé dpc – OF ACFM)
Cet atelier s’inscrit dans une session de formation de 3 heures (limité à 40 personnes pour la formation).
Inscription réservée uniquement pour les inscrits à une CPTS
Cet atelier s’inscrit dans une formation de 3 heures qui abordera à la fois la communication entre professionnels de santé et la communication avec le patient.
(validé DPC et FIF en version longue 7 heures et 2 jours). En cours de validation dpc – OF
Cet atelier s’inscrit dans une formation qui s’appuie sur des cas cliniques pour appréhender les soins de support et favoriser des réponses à apporter aux patients atteints de cancer.
en cours de validation dpc – OF
Découvrez les intervenants
Des rencontres enrichissantes pour votre exercice
Le congrès vous offrira l’opportunité de rencontrer de nombreux experts. Tout au long de ces 2 journées, vous pourrez rencontrer des experts reconnus, échanger de façon conviviale avec des professionnels de santé et des partenaires via le village des partenaires au cœur de l’évènement.
Seront également présents :
Les Présidents et de nombreux élus de vos unions Régionales :
M. Michel Téboul
Président URPS biologistes libéraux du Grand Est
M. Matthieu Hutasse
Président URPS chirurgiens-dentistes libéraux du Grand Est
M. Julien Boehringer
Président URPS infirmiers libéraux du Grand Est
Mme Corinne Friche
Présidente URPS masseurs-kinésithérapeutes libéraux du Grand Est
Dr Claude Bronner
Président URPS médecins libéraux du Grand Est
M. Pierre-Olivier François
Président URPS orthophonistes libéraux du Grand Est
Mme Marion Thibord
Présidente URPS orthoptistes libéraux du Grand Est
M. Christian Jérôme
Président URPS pédicures-podologues libéraux du Grand Est
M. Christophe Wilcke
Président URPS pharmaciens libéraux du Grand Est
Mme Marie Bauer
Présidente URPS sages-femmes libéraux du Grand Est
Représentants des tutelles :
- Virginie CAYRÉ, ARS Grand Est, (à confirmer)
- Maxime ROUCHON, Assurance Maladie (à confirmer)
Les partenaires œuvrant sur le territoire en faveur de l’exercice coordonné :
(Maison des URPS, ARS, CPAM, ARS, Pulsy, e-Meuse Santé, Territoire de Santé de Demain à l’Eurométropole de Strasbourg, La marque Verte (Welcoop)…) via le village des partenaires au cœur de l’évènement.
Organismes de formation partenaires :
ACFM, fmc-ActioN, A2FM, SROAL, AFCOPIL, Institut National de la Kinésithérapie, SRA Grand Est, eduprat, Néon, (MG Form à terme).
Informations pratiques
Le centre Prouvé se situe à 1 min à pied de la gare TGV de Nancy et de la plateforme de transports publics. parking public en sous-sol de 455 places
Centre Prouvé, 1 Place de la République
54000 Nancy
ATTENTION !
Anticipez dès que possible votre réservation d’hôtel !
Notre congrès se tient durant le Festival Nancy Jazz Pulsation qui draine chaque année un large public ! Pour faciliter votre venue et votre hébergement, une plateforme de réservation vous permet de réserver des chambres d’hôtel à tarif préférentiel :